Synopsis
Juillet 1976, année de la canicule. Claude et Isabelle passent leurs vacances d’été en Bretagne avec leurs deux jeunes fils, Simon (12 ans) et Bibou (8 ans), la mère d’Isabelle, et deux couples d’amis. Isabelle est bretonne ; c’est elle qui a choisi pour ces vacances le petit village où elle est née, Le Rocher Abraham. Claude est juif et originaire d’Algérie. Le groupe est accueilli avec méfiance par les autochtones à l’accent rugueux comme leurs mains… Parisiens, provinciaux, Juifs, Bretons : la cohabitation n’est pas facile. Mais peu à peu, le passé, les vieilles rancœurs, les inimitiés, les préjugés seront balayés ! Laissant la place à l’amitié, aux émotions, aux amours naissantes ou retrouvées… Des moments de vie qu’on n’oublie pas. Au Rocher Abraham, à vingt cinq kilomètres de la mer, même Bibou et Simon les deux frères complices, vont vivre un bel été. Leurs plus belles vacances!
Equipe & Casting
Réalisateur : Phillipe Lellouche
Scénario : Frédéric Petitjean
Avec : Gérard Darmon, Julie Gayet, Philippe Lellouche, Vanessa Demouy, Christian Vadim
Programmation & Présentation
Présentation et discussion avec Julie Gayet, actrice
Saturday, March 23 – 2:40 p.m at the Byrd Theater ~ 1h34 ~ General Audience
Bande-annonce
Plus d’informations
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Le film est dédié «à nos pères» de manière générale, mais au vôtre en particulier.
Mon père ne manquait pas une occasion de nous dire «j’aimerais bien vous voir une fois dans le même film ton frère et toi!». Et puis un jour, on a appris la maladie de mon père. C’est là que j’ai commencé à écrire Nos plus belles vacances, pour mon frère et moi.
L’action se déroule en Bretagne durant l’été 1976…
C’était la terre natale de notre mère et en même temps une sorte de planète lointaine, dans une nature luxuriante où les paysans avaient un accent rocailleux insensé.
Le village où vous séjournez s’appelle Le Rocher Abraham. Un mystère en soi…
Trouver au fin fond de la Bretagne ce Rocher Abraham c’est un clin d’œil de la vie ! L’ironie, c’est que personne ni dans le village ni à la mairie n’est capable d’expliquer l’origine du mot et le pourquoi d’Abraham accolé à ce rocher…
Selon Marcel Pagnol, «On ne guérit jamais de l’enfance». Vous le pensez aussi ?
Bien sûr, la carrière de granit où on jouait enfant, c’est un peu dans mon esprit l’extension de sa garrigue à lui, une terre d’aventures inépuisables. J’ai hérité là du côté terrien de la famille de ma mère, compensant un peu le côté méditerranéen et exubérant du côté de mon père: moitié couscous, moitié granit.